Merci beaucoup, ça me fait super plaisir que l’article t’ait plu !
Oui, c’est fascinant de voir comment le thé est devenu un élément si profondément ancré dans la culture du Bangladesh — à la fois quotidien et identitaire.
Concernant les exportations, c’est une vraie question. Aujourd’hui, la consommation locale est tellement forte que la priorité reste le marché intérieur. Mais il y a clairement un potentiel : entre les petites productions artisanales, les micro-lots de qualité, et l’intérêt croissant pour les thés éthiques et traçables, le Bangladesh peut trouver sa place sur les marchés internationaux sans sacrifier son authenticité.
